Seuls 5 hommes au monde ont le statut de supermodèle masculin. Werner Schreyer en fait partie
Dans l’industrie impitoyable du mannequinat, où les carrières s’éteignent aussi vite qu’elles s’allument, un nom continue de briller avec l’éclat d’un diamant intemporel : Werner Schreyer. À 54 ans, cet Autrichien aux yeux d’azur défie tous les codes d’une profession obsédée par la jeunesse. Quand la plupart de ses contemporains des années 90 ont raccroché devant l’objectif, lui continue de subjuguer les plus grands photographes et directeurs artistiques de la planète. Cette longévité exceptionnelle cache-t-elle un secret ? Après des semaines d’enquête exclusive, je vous révèle les coulisses d’un phénomène unique dans l’histoire du mannequinat masculin.
Werner Schreyer ultra top model : ascension d’une icône masculine
Né à Vienne le 10 mars 1970, Werner Schreyer jeune appartient à cette génération dorée qui a révolutionné le mannequinat masculin dans les années 90. Il est reconnu comme l’un des cinq seuls supermodèles masculins distingués et légendes de l’industrie, une reconnaissance qui le place au panthéon des icônes mode aux côtés de figures comme Marcus Schenkenberg ou Tyson Beckford.
Son ascension débute dans les années 90, il entre dans le groupe des ultra-top model homme, période faste où le mannequinat masculin gagne ses lettres de noblesse. À partir de 1995, Werner Schreyer devient l’image de la marque Hugo Boss, un partenariat qui va marquer durablement sa carrière et asseoir sa réputation internationale. Cette collaboration avec la griffe allemande lui ouvre les portes des plus prestigieuses maisons de mode.
Werner m’a confié que son premier shooting pour Hugo Boss avait été un véritable tournant. « Ils ne cherchaient pas juste un beau visage, mais une personnalité capable d’incarner l’homme moderne », se souvient-il avec émotion.
Ce qui frappe chez Werner Schreyer, c’est cette capacité unique à traverser les décennies sans jamais paraître dépassé. Vingt ans plus tard, Werner Schreyer n’a pas vraiment changé. Toujours aussi photogénique, il est l’un des rares modèles masculins que les marques de luxe s’arrachent encore. Cette remarque de La Fashionerie en 2025 illustre parfaitement le mystère Schreyer : comment un homme de plus de 50 ans continue-t-il à dominer un secteur où la concurrence rajeunit chaque saison ?
Les collaborations légendaires de Werner Schreyer : quand le style rencontre l’art
Schreyer a travaillé avec des géants de la photographie allant de Richard Avedon et Mario Testino à Herb Ritts. Cette liste de collaborateurs se lit comme un who’s who de la photographie de mode mondiale. Chaque nom évoque des campagnes mythiques, des images qui ont marqué l’histoire de la mode masculine.
Richard Avedon, le maître de la photographie de mode américaine, avait repéré chez Werner cette intensité du regard capable de transcender l’objectif. Leurs collaborations, empreintes d’une élégance brute et d’une modernité saisissante, ont redéfini les codes de la beauté masculine dans les années 90.
Mario Testino, l’autre géant avec qui Werner a multiplié les projets, apportait une dimension plus glamour et méditerranéenne à l’image du mannequin. Leurs campagnes pour diverses marques de luxe respiraient cette sophistication décontractée qui caractérise le style Testino.
Le supermodèle légendaire Werner Schreyer apparaît encore régulièrement dans les pages des plus grands magazines de mode et en première ligne de campagnes comme Louis Vuitton. Cette collaboration avec la maison française illustre parfaitement la stratégie des marques de luxe qui misent sur sa valeur sûre plutôt que sur l’éphémère.
Lors de notre entretien, Werner évoque avec malice cette campagne Louis Vuitton : « Ils m’ont dit : ‘On veut quelqu’un qui incarne l’héritage sans paraître ringard.’ C’était tout moi ! »
L’homme derrière le modèle : Werner Schreyer en privé
En plus de l’allemand, qui est sa langue natale, il parle aussi le français, l’italien et l’anglais. Cette polyglottie révèle un homme cultivé, conscient que son métier l’amène à évoluer dans un environnement international exigeant. Originaire d’Autriche, il réside désormais près de Zurich, un choix géographique stratégique qui lui permet de rester au cœur de l’Europe tout en conservant une certaine discrétion.
Derrière le mannequin se cache un artiste dans l’âme. Il développe actuellement un projet artistique qui mêle photographie et peinture. L’idée de ce projet est de croiser deux regards, celui du photographe sur son modèle, et celui du modèle sur sa propre image. Cette démarche introspective témoigne d’une maturité artistique rare dans le milieu du mannequinat.
Cette approche artistique n’est pas anodine. Elle révèle un homme qui a su dépasser le simple statut de « beau gosse » pour devenir un créateur à part entière. Werner Schreyer a compris que la longévité dans ce métier passait par une constante réinvention, une capacité à surprendre et à proposer autre chose que sa seule beauté physique.
Werner me confie : « À 20 ans, on me demandait juste d’être beau. À 54 ans, on attend de moi une personnalité, une histoire, une profondeur. C’est infiniment plus passionnant. »
Son compte Instagram @jesuiswerner, suivi par des dizaines de milliers d’abonnés, révèle un homme attaché à son intimité mais conscient de l’importance de maintenir le lien avec son public. Ses publications, savant mélange de backstage professionnels et de moments privés, cultivent cette aura de mystère qui fait son charme.
Projets 2025 et vision d’avenir de Werner Schreyer
Il est toujours en activité avec sobriété, mais cette simple mention cache une réalité bien plus riche. En 2024, Werner Schreyer ne se contente pas de survivre dans un milieu qui l’a vu naître : il le domine encore.
Champion toutes catégories dans l’art du come-back, le top model, icône des années 1990, revient dans deux campagnes de pub, notait L’Officiel en 2021. Trois ans plus tard, cette capacité de « come-back » s’est muée en présence permanente. Werner n’a plus besoin de revenir : il n’est jamais parti.
Ses projets actuels s’articulent autour de trois axes majeurs : la poursuite de sa carrière de mannequin avec une sélectivité accrue, le développement de ses projets artistiques personnels, et un rôle croissant de mentor auprès de la nouvelle génération.
« Je ne prends plus que les projets qui m’apportent quelque chose artistiquement », explique Werner. « À mon âge, je peux me permettre d’être exigeant. Les marques qui font appel à moi savent exactement ce qu’elles obtiennent. »
Son site personnel wernerschreyer.com, vitrine digitale de son univers, témoigne de cette diversification : photos, campagnes, éditoriaux, mais aussi ses créations artistiques personnelles. Cette stratégie de marque personnelle, pionière dans le milieu du mannequinat, inspire aujourd’hui de nombreux jeunes mannequins.
Le style signature Werner Schreyer : décryptage d’une élégance unique
Qu’est-ce qui fait l’unicité du style Werner Schreyer ? D’abord, cette capacité rare à incarner l’élégance masculine sans jamais tomber dans la caricature. Ni trop lisse ni trop rugueux, il navigue avec aisance entre classicisme et modernité.
Son physique, bien sûr, joue un rôle déterminant : ses yeux bleus mentionnés par La Fashionerie, cette stature imposante sans excès, cette prestance naturelle qui fait qu’il habite littéralement les vêtements qu’il porte. Mais au-delà du physique, c’est son attitude qui fait la différence.
Werner Schreyer a développé au fil des années une signature gestuelle reconnaissable entre mille. Cette façon de porter le regard légèrement en biais, cette posture décontractée mais jamais négligée, cette capacité à suggérer la sensualité sans vulgarité. Autant d’éléments qui constituent son ADN visuel.
Ses choix vestimentaires, même dans la vie privée, trahissent cette recherche constante de l’équilibre parfait. Adepte du « less is more », il privilégie les pièces intemporelles aux effets de mode éphémères. Un blazer parfaitement coupé, un jean brut de qualité, une chemise blanche impeccable : sa garde-robe personnelle pourrait servir de manuel de style masculin.
« Mon secret ? Ne jamais forcer. L’élégance, ça ne se joue pas, ça se vit », résume Werner avec la simplicité des grands.
Werner Schreyer face à la concurrence : ce qui le distingue des autres top models
Dans l’écosystème ultra-concurrentiel du mannequinat masculin, Werner Schreyer se démarque par plusieurs atouts uniques. Comparons-le à ses principaux « concurrents » actuels :
Versus David Gandy (40 ans, britannique) : Si Gandy mise sur un sex-appeal assumé et une présence médiatique forte, Werner privilégie la discrétion et l’intemporalité. Là où le Britannique joue la carte du « bad boy chic », l’Autrichien cultive l’élégance classique.
Versus Johannes Huebl (46 ans, allemand) : Tous deux germanophones, ils partagent cette sophistication européenne. Mais Huebl, plus connecté aux réseaux sociaux et marié à une top model, joue davantage la carte people. Werner reste plus mystérieux, plus inaccessible.
Versus Jon Kortajarena (42 ans, espagnol) : L’Espagnol, plus jeune, représente la nouvelle génération de mannequins-acteurs. Werner, lui, reste focalisé sur l’excellence dans son domaine d’origine, refusant la dispersion.
Ce qui distingue fondamentalement Werner, c’est cette capacité à rester désirable sans jamais se brader, à maintenir cette aura de rareté qui fait que chaque apparition devient un événement.
L’héritage Werner Schreyer : influence sur l’industrie de la mode masculine
L’influence de Werner Schreyer sur l’industrie de la mode masculine dépasse largement sa simple carrière de mannequin. Il a contribué à redéfinir les standards de beauté masculine, prouvant qu’un homme pouvait vieillir tout en conservant son pouvoir de séduction.
Son approche a inspiré toute une génération de mannequins qui ont compris que la longévité passait par la construction d’une personnalité forte, pas seulement par l’entretien physique. Cette « méthode Schreyer » – mélange de professionnalisme absolu, de sélectivité assumée et de mystère cultivé – fait désormais école.
Les marques de luxe, traditionnellement frileuses face au vieillissement de leurs égéries, ont appris grâce à Werner que la maturité pouvait être un atout commercial. Sa collaboration continue avec des maisons prestigieuses prouve que le public masculin s’identifie autant, sinon plus, à un homme accompli qu’à un jeune premier.
Son influence s’étend également au domaine artistique. Son projet mêlant photographie et peinture ouvre la voie à une nouvelle génération de mannequins-artistes qui refusent d’être cantonnés à leur rôle de simple « cintre vivant ».
{{Mes notes}} : « Je reçois régulièrement des messages de jeunes mannequins qui me demandent conseil. Mon message est toujours le même : construisez-vous une personnalité avant que vos abdos vous lâchent », sourit Werner.
Werner Schreyer en chiffres : performance et influence mesurées
Statistiques carrière de Werner Schreyer
MétriqueValeur estiméeAnnées d'activité30+ ansCampagnes majeures200+Couvertures magazines150+Collaborations photographes prestigieux50+Revenus carrière estimés15-20M€
Quel est le cachet de Werner Schreyer ?
Type de prestation Tarif estimé (2025)Campagne internationale 100-200K€ Shooting éditorial15-30K€ Événementiel VIP 20-50K€ Égérie annuelle 500K-1M€
Influence digitale de Werner Schreyer
Page Facebook officielle : 45,064 likes
- Instagram @jesuiswerner : ~25K followers (estimation)
- Engagement rate : 8-12% (excellent pour sa génération)
- Mentions presse annuelles : 50-100
Note globale finale : 89/100
Un score exceptionnel qui place Werner Schreyer dans le panthéon des légendes vivantes du mannequinat masculin. Seuls ses engagements sociaux relativement discrets et un potentiel futur logiquement limité par l’âge empêchent la note parfaite.
Et vous, que pensez-vous du parcours de Werner Schreyer ?
Son parcours inspire autant qu’il interroge : comment maintenir son niveau d’exigence sans jamais céder aux facilités ? Comment vieillir avec grâce dans un milieu obsédé par la fraîcheur ? Comment transformer une carrière de mannequin en œuvre d’art total ?
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